
BELLE ILE EN MER
LA BIEN NOMMEE
C’est un lieu mythique. Belle-Île qui porte si bien son nom, doit son élogieuse réputation à son environnement exceptionnel.
Paysages éclectiques, falaises déchirées et panoramas grandioses, landes et dunes préservées, sentiers bucoliques ouverts aux balades romantiques et aux flâneries, Belle-île a une nature généreuse et fascinante.
Les bellilois, qui tous, l’aiment passionnément et goûtent à s’y égarer encore, prennent minutieusement soin d’elle.
Pour offrir sa splendeur à tous, ils savent en protéger les richesses et en ménager les ressources, et en font, au-delà d’un lieu unique de sérénité et d’inspiration, un authentique territoire du tourisme responsable.
Durant toute l’année, l’île est un théâtre permanent de création artistique et de vie locale. Ajoutez à cela une intense vie culturelle, et vous entreverrez déjà quelques facettes de ce paradis en mer.

La première fois que je vis Belle-Ile,
je la vis comme un havre,
un paradis, un refuge.
J’y découvris , à l’extrémité la plus venteuse, un fort,
un endroit spécialement inaccessible, spécialement inhabitable,
spécialement inconfortable..
et qui par conséquent m’enchanta.
Sarah Bernhardt - Pointe des poulains

Propice
A LA CREATION
La nature sauvage de Belle-Ile a toujours inspiré les artistes.
Le peintre Claude Monet a immortalisé les aiguilles de Port Coton, chahutées par les marées.
L’actrice Sarah Bernhardt a résidé dans le fortin de la pointe des Poulains, à la proue ventée de l’île.
La variété de ses paysages étonne. Ses côtes tournées vers le continent sont formées de criques abritées et de belles plages de sable fin. Face à l’Atlantique, la côte sauvage offre un tout autre visage. Ses falaises abruptes plongent dans un bouillonnement d’écume permanent.
A l’intérieur, Belle-Ile se partage entre landes d’ajoncs, vallons verdoyants et dunes préservées. On longe de pimpantes maisons aux volets colorés et des ports naturels bâtis dans le roc... Et partout, la mer.



Je suis dans un pays superbe de sauvagerie, un amoncellement de rochers terribles et une mer invraisemblable de couleurs. Je suis très emballé quoique ayant bien du mal, car j’étais habitué à peindre la Manche et j’avais forcément ma routine, mais l’Océan, c’est tout autre chose. ’’